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Information sur les contacts pris avec les associations d’anciens combattants pacifistes des autres pays

Friday 19 December 2008, by Gérard C. Webmestre

Les contacts pris avec les sites internet d’associations similaires à la notre ont permis d’amorcer des liens dont voici quelques exemples:

Réponse de VVAW (Vétérans du Viet Nam contre la guerre)(USA)

Dear Hubert,
Thank you for writing to VVAW. It is wonderful to learn about another group of military veterans working against war and injustice. How long have you been an organization? It is great that you will now link to us via the internet, and we stand with you. It is a very good idea of giving your pensions to those that need it the most.

There is also an Australian veterans group called STANDFAST that has just formed this year. Perhaps you would be interested in contacting them, also. http://www.stand-fast.webs.com

We send our support in solidarity,

Ward Reilly, south east contact, VVAW

PS...the USA not currently using "Liberty", so perhaps we should return the BEAUTIFUL statue
you sent us in 1886 ??? :>)

Réponse de VFP (Vétérans pour la paix)( USA)

Hi... my name is Jim Murphy and I’m active in the NYC area with vietnam veterans Against the War (VVAW) and Veterans For Peace (VFP). I would like to be kept aware of your activities and should you have members passing thru NYC, I’d be happy to arrange a couple of speaking engagements. In Peace, Jim Murphy ...Vietnam 1967-8
I’ll link your site to: www.veteransforpeaceny.org

Consider having a Facebook page for your group...

Puis projet d’organisation internationale déjà reproduit sur le site

Hi again Hubert... Here is an outline of what we are trying to establish:

International Veterans Fellowship Of Reconciliation

Overview: Creation of a international network of veterans that share the military and war experience, that commonly hold the belief that the active pursuit of non-violence and promotion of ethics and justice can replace societal racism and the violence of nations throughout the world.

The Question: What kind of world society do we wish to leave for our children….

Initial Goals:

The networking of anti-war veterans and organizations in the USA with anti-war members from international veterans’ organizations…

Legislative advocacy for veterans and active-duty military in need of medical, psychiatric and/or basic needs such as shelter and employment…

Initial Steps:

Identify international veterans’ peace groups and identify American veterans that believe in and/or are willing to work towards pacifism in the world (I personally am not a pacifist but I will be as I learn and accept pacifism)

Start Communication…. Website, Blog… the beginning of creating a group identity and definition.

Organization Project…. Life stories, insights from war, a collective journal for publication

Long-distance video conferencing… regional gatherings

Purpose: A legacy that veterans can leave young people that is based on ethics and morality:

Education of young people to make choices that embrace spirituality and an egalitarian society, not the promotion violence and racism….

Supporting and working in conjunction with other groups promoting peace and justice with young people….

The healing of veterans….

Jim Murphy: c/o Fellowship Of Reconciliation

521 North Broadway

Upper Nyack, NY 10960

845-358-4601

Réponse de l’association australienne Stand Fast (Anciens Combattants contre les guerres d’Irak et d’Afghanistan)

Cher Hubert et membres de l’Association des Appelés en Algérie contre la guerre,

Je vous remercie pour votre message de solidarité et d’amitié. Stand Fast a quelques consultatif (sans droit de vote) des membres de groupes en dehors de l’Australie comme l’Iraq Vétérans contre la guerre qui sont sur notre liste d’email et de s’associer à nos discussions. Si vous souhaitez obtenir des e-mails de notre groupe faites le moi savoir et je vais heureusement vous ajouter à notre liste.

Je suis désolé que je ne peux pas vous écrire en français. J’ai utilisé un traducteur internet et j’espère donc que cela a du sens.

Le vôtre dans la solidarité

Hamish Chitts
Stand Fast

Dear Hubert and members of Association des Appelés en Algérie contre la guerre,

Thank you for your message of solidarity and friendship. Stand Fast has a few consultative (non-voting) members from groups outside of Australia like Iraq Veterans Against the War who are on our email list and join in our discussions. If you would like to get emails form our group let me know and I’ll happily add you to our list.

I’m sorry that I cannot write to you in French. I have used an internet translator so I hope it makes sense.

Yours in solidarity

Hamish Chitts
Stand Fast

L’association des vétérans d ’Irak contre la guerre IVAW n’a pas encore répondu

L’association des appelés Israéliens contre l’agression et la répression ’a été ’objet d’un premier contact sans résultat ?

Toutes ces organisations ont des sites internet indiqués dans l’article déjà paru sur le site.
( Le site israelien est traduit en français)

Ces 5 et nous pourrions être à la base d’une organisation internationale( Proposition de VFP)

Forum posts

  • En saluant la visite en Algérie des membres de la délégation de l’Association 4ACG avec mes souhaits de bienvenue et d’un agréable séjour, je voudrais lui faire prendre connaissance d’un livre en cours d’impression intitulé "LES DERNIERS MARTYRS DE LA REVOLUTION" avec les extraits qui suivent :

    Abdallah CHABANI

    LES DERNIERS
    MARTYRS
    DE?LA?REVOLUTION
    ...On entendit un claquement de talons qui caractérise le salut militaire, des bribes de conversation puis le parachutiste revenant sur ses pas inviter Robert à pénétrer dans la pièce pour se trouver face à un capitaine assis derrière son bureau, les mains jointes, essayant de le dévisager par un regard fixe et direct qui l’invita à prendre place sur une chaise. Une fois assis, Robert prêta l’oreille au discours de son vis-à-vis :
     “ Robert Marget, je présume que vous devez connaître la nature de la conversation que je vais avoir avec vous”.
     “ Non”, répondit Robert, désabusé. Je ne comprends rien à ce qui m’arrive”.
     “ Evidemment ! , répliqua le capitaine qui le foudroya du regard. Nous allons vous et moi nous efforcer de comprendre pourquoi vous en êtes arrivé jusque-là. Le temps est bien limité. Je vous demanderais donc de répondre sans détours aux questions que je vais vous poser. D’abord, vous savez comme tout le monde qu’un terrorisme aveugle et barbare sévit impitoyablement dans les villes et les campagnes touchant en grand nombre des victimes innocentes. Ce terrorisme est dirigé par des hommes quelque peu prétentieux qui se déclarent en ennemis résolus. Leur combat est mené dans la clandestinité la plus imperméable et bénéficie des complicités les plus diverses. Nous admettons difficilement qu’un Musulman se fasse le complice de cette rebellion, qu’il peut l’être par fanatisme religieux, par solidarité de race ou pour des raisons non moins obscures, mais ce qui est inconcevable, inadmissible, c’est de voir compter dans les rangs de ces troupeaux d’égorgeurs des Européens leur prêtant main forte. Passons !
    Devant ce danger qui menace sérieusement l’ordre public, la sécurité des biens et des personnes, l’armée entend contrecarrer par tout moyen l’action de cette prétendue révolution. A cet effet, nous ne laissons rien au hasard. D’une part, nous poussons à l’éducation des masses dans le sens de la liberté, de la fraternisation, des promotions sociales, d’autre part nous procédons sans répit à la destruction systématique de la rebellion. Comme il s’agit d’une guerre de nerfs diligentée sous la chappe de la subversion, le renseignement est le seul capable de nous aider à bien mener notre tâche. Aussi, il ressort de nos soucis de protection que tout individu sur lequel pése le moindre soupçon est considéré à priori comme coupable, et tout coupable doit avouer son crime. Libre à lui d’avouer par la persuation en collaborant, ou par des moyens qui ne sont pas moins persuasifs, dits “immoraux” par les coeurs sensibles. Il s’agit en fait d’une théorie implacable que les circonstances du moment exigent et que nous sommes tenus d’appliquer sans discernement. Vous voilà prévenu, parce que de la façon dont on vous juge vous êtes coupable” .
     “ Mais de quoi suis-je coupable ? interroge Robert dans un élan plein de sûreté.
     “ On dit que vous êtes communiste”. “Seulement !”, se dit Robert en feignant d’avoir mal entendu.
     “ Pardon !”
     “ On dit que vous êtes com-mu-niste !”
     “ Mais qui le dit ?”, interrogea Robert.
     “On”, cela peut être Paul, Pierre, Jacques...” , poursuivit le capitaine.
    En entendant le prénom de son jeune frère qui heurta son esprit comme un buttoir, il crut défaillir, mais il se domina pour ne pas extérioriser sa réaction intérieure.
     “Ils” se trompent tous ! “
     “ Vous croyez qu’on se trompe, mais les preuves sont là !”
     “ Quelles preuves ?”.
     “ Les journaux, les coupures de presse, la collection de livres qui constituent votre nourriture spirituelle nous donnent à penser que vous êtes un acteur engagé dans la rebellion autant que votre parti qui n’en fait pas mystère avec ses poseurs de bombes comme Fernand Yveton, ses officiers félons comme Henri Maillot, ses instituteurs comme Maurice Laban et tous les autres, y compris des femmes qui s’en mêlent, qui s’activent encore dans le maquis. Maintenant, vous allez me dire qui est Abderrahmane Belhadj”.
     “ Abderrahmane Belhadj ? Je ne connais personne de ce nom”.
     “ Nous n’inventons rien. Tenez, lisez !”
    Le capitaine lui remit une lettre qu’il a tirée d’une chemise. Robert s’en saisit et avant même d’entamer sa lecture, il reconnut l’écriture nerveuse de son frère Jacques. Dès qu’il parcourut les premières lignes, il devint subitement blême, plongeant dans l’irréel en constatant que son propre frére les dénonçait lui et Abderrahmane comme communistes notoires susceptibles d’appartenir à un réseau de subversion. Beaucoup de détails étaient fournis sur leur compte, et comme de bien entendu, la lettre gardait tout de son anonymat.
     “ C’est une abominable machination!“,
    objecta Robert.
     “ C’est fort probable, répondit le capitaine. Mais ce qui ne l’est pas, c’est que cet Abderrahmane Belhadj existe bien. Nous savons où il habite comme indiqué dans la lettre, nous savons où il travaille, mais nous avons perdu subitement sa trace à son lieu de travail et sa “pauvre” mère affirme qu’il n’a pas remis les pieds à la maison depuis plusieurs jours. Sa disparition dans la nature explique bien qu’il n’a pas la conscience tranquille. Quel rôle joue cet Abderrahmane dans votre organisation ? “ .
     “ Quel Abderrahmane, et quelle organisation ?, répondit Robert avec le poids d’un étonnement mesuré.
     “ Faites un effort !” .
     “ Je ne comprends absolument rien...! ” .
     “ Allez-vous m’obliger d’agir autrement envers vous ? Vous ne voulez donc pas avouer ? “
     “ Mais avouer quoi ?”.
     “ Que vous êtes communiste” .
     “ Ben, si vous l’exigez, je le suis”.
     “ Soit, et Abderrahmane ?”.
     “ Je ne le connais pas ! ” .
    Le capitaine se leva.
     “ Je suis désolé, nous allons voir d’après nos “tests” si ce que vous dites est vrai ou faux. Vous n’avez rien d’autre à ajouter ?” .
     “ Non, rien !” .
    Le capitaine quitte alors le bureau pendant quelques minutes avant de revenir encadré de trois colosses à la mine obscure. Devinant ce qui l’attendait, Robert trembla à l’idée d’une évasion. Il lui paraissait si simple de passer par la porte-fenêtre du bureau,de choir dans la cour et de là se perdre dans le grand jardin de la propriété et franchir le mur d’enceinte pour se retrouver dans la rue. Il se ressaisit en jugeant les gros risques qu’il encourrait inutilement. Il se dit que si par malheur il faiblissait sous les coups de ses tortionnaires pour dénoncer ses camarades, il ne lui resterait plus que le suicide comme amende honorable. Les trois parachutistes l’écrasèrent sous le poids de leurs regards inquisiteurs.
     “ Demadez-lui qui est Abderrahmane “, ordonna le capitaines à ses hommes en se retirant .
    Robert était encore assis. L’un des miltaires vint l’agripper par la veste, le tirant à lui comme s’il traînait la dépouille d’une bête.
     “ Viens gros mignon, viens, nous allons t’affectionner !” ...

    Après avoir subi plusieurs séances de tourture

    ...A son réveil, tard dans la nuit, il se rendit compte que son “déjeuner” et son “diner” lui avaient été servis sans qu’il ne s’en rende compte, et un moment après, une voix lui parvenait au travers du judas de la porte. Il reconnut la voix comme celle qui avait interpellé le “Mimile” la veille lui reprochant de prendre part à la torture qu’on lui infligeait, et ce reproche fait à son ami le rassurait en pensant que ce béret rouge n’était pas comme les autres, surtout en l’entendant dire que l’on se gardait bien de parler de ces pratiques et de ne faire cas que de celles “d’en face”. Sans se déplacer vers la voix de son gardien, Robert, méfiant, tendait l’oreille pour savoir ce qui allait lui être dit.
     “ Ecoute, vieux, tu es dans la bonne voie. Tiens le coup. Je vois que tu as des principes et moi aussi qui convergent dans la même direction du bien. Ton combat est juste. Je m’appelle André. Je suis un appelé du contingeant pour faire mon service militaire. Je te donne ma parole que je suis sincère et voudrais faire quelque chose pour toi. C’est un engagement politique personnel. Mange cette orange elle te fera du bien, surtout ne laisse aucune trace de sa peau”. L’orange fut jetée au travers du judas, et “André” de poursuivre :
     “ Demain, je suis chargé de te convoyer auprès du procureur de la République pour te signifier ton inculpation au motif d’atteinte à la sûreté intérieure de l’Etat. Je serai armé en compagnie du chauffeur de la jeep et de Mimile. J’ai l’intention de te faire évader et c’est à toi de décider de ce qui va suivre.?La menotte de ta main droite ne sera pas fermée. En descendant la rue vers la cité Mahieddine, il y a un marchand de tabac et juste à côté du kiosque des escaliers qui ménent à la rue de Lyon. Je ferai arrêter la jeep pour aller acheter des cigarettes et tu profiteras de ce moment pour sauter de la jeep et emprunter les escaliers pour disparaître en ouvrant la menotte de ta main droite. Je ferais les sommations d’usage devant Mimile et le chauffeur avant de tirer en l’air, sans te viser te laissant le temps de disparaitre. Tu devines que je prends des risques, mais ces risque je les endosse dans mes convictions personnelles. Je maintiens ce que je viens de te dire et c’est à toi de décider. Réfléchis bien. Si après l’achat des cigarettes je vois que tu n’as pas réagi, je considérerais l’affaire comme classée. Sur ce, à demain matin “.
    Il disparut en fermant le judas, laissant Robert rongé par les spéculations de sa pensée.?Il était partagé entre deux vérités dans le discours qu’il venait d’entendre. Soit que le personnage était réellement sincère sous l’effet d’une compassion à la vue des supplices qu’il avait endurés endurés, ou bien il s’agissait de quelqu’un chargé de lui tirer le ver du nez sous le rapport d’une philantropie trompeuse. Il opta pour la seconde alternative pensant que le personnel s’activant dans ces lieux devait être trié sur le volet pour supporter ou même pratiquer les actes inhumains que leur hiérarchie leur ordonnait. Cependant, quelques indices l’orientent vers la décision qu’il ne prendrait qu’à la dernière minute en soupesant les risques et les avantages sur le terrain même...
    ...A l’approche du kiosque à journaux, André fit signe au chauffeur de s’arrêter devant lui pour s’approvisionner en cigarettes, et le regard qu’il adressa à son prisonnier à la dernière minute en disait long sur la liberté qu’il lui accordait pour décider de son sort quand, lui tournant à peine le dos, Robert réunissant toutes ses forces s’éjecta hors de la jeep pour dévaler quatre à quatre les escaliers en contre-bas. En se donnant tout le temps pour réagir à cette fuite, André se lança à sa poursuite brandissant son arme et criant de toutes ses forces : “Arrêtez, arrêtez, arrêtez ou je tire !”, tandis que trois coups de feu partirent en l’air alors que Robert était déjà loin, laissant le chauffeur et Mimile ébahis à se regarder. Les coups de feu avaient provoqué un attroupement de curieux près du kiosque. Voyant cela, André donna l’ordre au chauffeur de retourner à la villa où il dut faire son rapport au capitaine sur l’incident pour se voir ensuite aussitôt mis aux arrêts de rigueur en attendant de comparaitre devant le tribunal militaire.

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