Gilles Manceron, dans son blog de Mediapart en date du 16 octobre, fait état de révélations tout à fait étonnantes sur les origines de la répression du 17 octobre 1961. Voici de larges extraits de son intervention : La répression des Algériens désarmés désobéissant au couvre-feu discriminatoire qui leur était imposé est maintenant connue. Mais l’explication de l’événement progresse grâce aux notes laissées par le porte-parole du général de Gaulle, Louis Terrenoire, témoignage de première (…)
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Actualité, presse, autres associations
Respectant à la fois le vœu de ses fondateurs et sa Charte des valeurs et objectifs, l’Association entend « encourager ses membres et ses amis à s’informer des problèmes de société ainsi qu’à lutter contre les situations d’oppression et de manquement aux droits et à la dignité de l’Homme. »
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De nouvelles révélations sur le 17 octobre 1961
25 octobre 2017, par Michel Berthelemy -
Commémoration du 17 octobre 1961
20 octobre 2017, par Gérard C. Webmestre , Michel BerthelemyLa commémoration de la tragédie du 17 octobre 1961 a réuni plusieurs centaines de personnes à Paris, sur le Pont-Saint-Michel.
Le matin, l’ambassadeur d’Algérie en France, Abdelkader Mesdoua, et la maire de Paris, Anne Hidalgo ont participé à une cérémonie de recueillement, en présence d’une foule nombreuse constituée d’élus locaux, de moudjahidines, et de membres de familles de victimes. Une minute de silence a été observée après le dépôt de plusieurs gerbes de fleurs dans une ambiance (…) -
17 octobre 1961 à Paris, un crime d’État
16 octobre 2017, par Gérard C. Webmestre , Michel BerthelemySouvenons-nous : le 17 octobre 1961, des dizaines de milliers d’Algériens manifestaient pacifiquement à Paris pour protester contre le couvre-feu qui les frappait. Des milliers d’entre eux furent arrêtés, emprisonnés, torturés, et refoulés en Algérie. Des centaines perdirent la vie, victimes de l’extrême brutalité des forces de « l’ordre ».
Ce jour-là, un photographe était présent. Il s’appelait Elie Kagan. Bouleversé par ce qu’il avait vu, il dira plus tard : « l’homme que je suis a (…) -
Censure au Salon international du livre d’Alger
16 octobre 2017, par Anne Doussin , Gérard C. WebmestreLe 12 octobre 2017, Olivier Le Cour Grandmaison a fait une déclaration importante contre la restriction des libertés à travers la censure au Salon international du livre d’Alger, qu’il nous a communiquée et que nous reproduisons ici :
Déclaration :
Contre la censure au Salon international du livre d’Alger
« Dans le cadre des manifestations culturelles et académiques qui ont lieu chaque année au Salon international du livre d’Alger (SILA), une table-ronde consacrée aux luttes (…) -
17 octobre 1961 - 17 octobre 2017 : 56e anniversaire. Reconnaissance du crime d’État. Lettre ouverte au président de la République
13 octobre 2017, par Gérard C. WebmestreA la veille du 56e anniversaire du massacre de manifestants algériens à Paris par la police française, le Collectif 17 octobre 1961 - Vérité et justice demande à être reçu par le président de la République, Emmanuel Macron, et lui demande de "concrétiser ses engagements". Cette lettre est suivie de l’appel à rassemblement le 17 octobre prochain à Paris, à 18 heures, à Paris, sur le Pont Saint-Michel. Une nouvelle plaque commémorative sera symboliquement apposée.
Lettre ouverte :
Objet : (…) -
Massacre du 17 octobre 1961 : le président Macron interpellé
12 octobre 2017, par Michel BerthelemyLe président Emmanuel Macron a été sollicité par le Collectif du 17 octobre 1961 pour faire connaître sa position "précise" sur les crimes d’Etat et notamment les massacres d’Algériens à Paris dans la nuit du 17 octobre 1961. "Nous sollicitons de votre bienveillance une audience pour connaitre votre position précise à ce sujet (massacres du 17 octobre 1961), afin de pouvoir en rendre compte lors du rassemblement prévu le 17 octobre 2017 au Pont Saint-Michel à Paris", a écrit le collectif (…)
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Benjamin Stora : la France doit accepter sa défaite dans la guerre d’Algérie
5 octobre 2017, par Gérard C. Webmestre , Michel BerthelemyBenjamin Stora à partir d’Oran "La France doit accepter sa défaite"
Par Wahib AïT OUAKLI. Samedi 30 septembre 2017
« En France, le problème est qu’on n’accepte pas cette défaite », a déclaré M. Stora.
L’historien Benjamin Stora ne revient jamais sur sa fermeté dans ses positions vis-à-vis de la colonisation, notamment en ce qui concerne l’Algérie, les problèmes de la mémoire, mais également les relations algéro-françaises. Connu pour sa droiture, il franchit, de plus en plus, de (…) -
La Guerre d’Algérie au cinéma, un colloque à Paris le 5 octobre 2017
22 septembre 2017, par Michel BerthelemyL’Espace parisien histoire-mémoire de la guerre d’Algérie (EPHMGA) organise, le jeudi 5 octobre 2017, un colloque intitulé « La guerre d’Algérie au cinéma », en présence de nombreuses personnalités.
Après un « état des lieux » présenté par Benjamin Stora, l’historienne Emilie Goudal abordera le thème « cinéma et censure de la guerre d’Algérie ».
"Le partage des mémoires de la guerre d’Algérie au cinéma" sera l’occasion pour la chercheuse Djemaa Maazouzi de se pencher sur la fabrication (…) -
Marches pour la paix, samedi 23 septembre, dans toute la France
21 septembre 2017, par Gérard C. Webmestre , Michel BerthelemyPartout en France le samedi 23 septembre, le Mouvement de la Paix et le collectif En marche pour la Paix appellent à marcher pour un monde de solidarité, de justice, de liberté, d’égalité, de fraternité et de Paix
L’aspiration des peuples à vivre ensemble en paix dans la solidarité, la justice et la fraternité est immense.
Nous sommes persuadés qu’aucune de nos différences de convictions, d’appartenance ou de sensibilités philosophiques, politiques, religieuses, syndicales ou autres ne (…) -
Une rencontre avec l’auteur de bande dessinée Jacques Ferrandez
14 septembre 2017, par Gérard C. WebmestreL’association Coup de soleil a le plaisir de vous convier à une rencontre avec l’auteur de bande dessinée Jacques Ferrandez pour sa dernière publication :
« Le premier homme » (éd. Gallimard)
’En somme, je vais parler de ceux que j’aimais’, écrit Albert Camus dans une note pour l’œuvre à laquelle il travaillait au moment de sa mort. Il y avait jeté les bases de ce qui serait son récit de l’enfance : une odyssée temporelle et émotionnelle à travers ses souvenirs, un récit qui, sous (…)